‘On y trouve de la ruralité et de l’urbanité, des pauvres et des riches, des réfugiés et des expatriés. Le problème est que ces extrêmes se neutralisent, du moins dans les statistiques. C’est Jo Van Vaerenbergh, qui a plus de vingt ans d’expérience dans le secteur de l’intégration, qui parle.

‘Il est difficile d’expliquer en Flandre que l’histoire est différente dans le Rand. Lorsque vous regardez les défis, nos réactions sont toujours trop braves dans le Rand. Vilvoorde, Halle et Dilbeek vont recevoir ensemble 3 millions d’euros supplémentaires du fonds des villes et cela nous réjouit.

Mais ce sont des miettes. Nous ne pouvons pas continuer à attendre la Flandre. Il va nous falloir prendre notre avenir en mains avec les administrations locales.’